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Chez Comebo Industries, les robots soudent des châssis complexes en très petites séries

Comebo Industries a fait confiance à Valk Welding pour être son partenaire unique pour ses investissements actuels et futurs en soudage robotisé de châssis de grandes dimensions. Cela s’est traduit par l’installation d’un robot suspendu, avec un transfert aérien, en 2020 et d’un robot, plus classique, en 2024.

Nous sommes à Clazay, bourg associé à la commune de Bressuire située à 35 kilomètres au Sud-Est de Cholet. C’est dans ce paysage verdoyant que l’entreprise Comebo Industries a bâti sa réputation. « La Coopérative Métallurgique du Bocage a été créée à Bressuire, en 1970, par sept associés fondateurs. Dès ses débuts, l’activité était orientée vers la mécano-soudure en sous-traitance et une clientèle de grands comptes industriels », rappelle Jérôme Mathieu, P-DG de Comebo Industries.

Les activités de la société coopérative de production (Scop), où la soixantaine de salariés sont aussi des associés, s’articulent, aujourd’hui, autour du travail des tôles et des barres (découpe laser, perçage, pliage, roulage…), de l’assemblage mécano-soudé (procédés semi-automatique MAG, robotisés et par point) et de la finition de peinture. L’entreprise fabrique des châssis et autres éléments de structure – des pièces robustes constituées de plusieurs dizaines de composants, voire même de 200 ou 300 pour certaines références – pour des machines agricoles, des matériels de magasinage, des ascenseurs, des équipements aéroportuaires, etc. commercialisés dans le monde entier.

Comebo Industries a ainsi investi dans le soudage robotisé il y a plus de deux décennies. « Nous étions toutefois confrontés au vieillissement de deux de nos cinq machines, opérationnelles depuis 1999, donc, à une perte de la précision initiale. Au-delà de retrouver les capabilités originelles, nous voulions aussi en profiter pour moderniser le parc », souligne Jérôme Mathieu. C’est ainsi qu’en 2019, l’entreprise a choisi Valk Welding pour un premier robot de soudage, suivi par un deuxième robot en 2024.

« La programmation hors ligne est un critère important pour nous, parce qu’on ne peut pas arrêter le robot pendant trois à cinq semaines pour réaliser le programme des pièces les plus complexes. »

Jérôme Mathieu, P-DG de Comebo Industries

Étendre les capabilités possibles jusqu’à 5 m

Parmi les arguments en sa faveur, Valk Welding est un spécialiste du soudage, capable d’apporter des conseils sur la façon de souder telle pièce, plutôt que comme un simple vendeur de matériels. En tant qu’entreprise familiale, le fabricant affiche aussi une stratégie à long terme et une identité proche de celle de Comebo Industries. Le partenariat historique entre Panasonic et Valk Welding a également joué un rôle important dans la décision, en garantissant une intégration forte et une exploitation plus poussée du générateur et du robot.

La première cellule s’appuie sur un robot suspendu avec un transfert aérien, afin d’optimiser l’encombrement en largeurprofondeur. « La machine se trouvant à proximité d’une entrée, il fallait laisser suffisamment de place pour le passage », indique Jérôme Mathieu. Un autre avantage de ce robot est une accessibilité accrue de la torchequ’il permet d’accéder par le dessus à des zones exiguës. La deuxième cellule, elle, repose sur un châssis E monobloc.

Ces solutions se distinguent des machines précédentes par des options garantissant le bon positionnement des cordons de soudure et leur conformité (suivi de joints, fonctions de relocalisation). Les pièces étant pointées sur gabarit à la main, il y a des petits écarts, toujours dans les tolérances, qui, cumulés à ceux des procédés de découpe ou de pliage, peuvent avoirauraient sans ces options des conséquences sur la répétabilité conformité des soudures au niveau du robotisées.

Grâce à cet investissement, Comebo Industries a été en mesure de répondre à des demandes de fabrication de pièces encore plus grandes. « Nous étions limités à 3,2 m, alors qu’aujourd’hui, nous pouvons aller jusqu’à 5 m avec la première installation et 4,1 m avec la deuxième. La première machine nous a d’ailleurs permis d’intégrer un nouveau produit complémentaire que l’on n’aurait pas pu faire avant », précise Jérôme Mathieu.

En plus de la quasi-suppression des travaux de parachèvement (nettoyage des pièces, reprise de soudures…) grâce à l’obtention de soudures désormais propres et précises, un dernier facteur a fait pencher le choix vers Valk Welding. « La programmation hors ligne (PHL) était plus avancée qu’avec les autres fabricants consultés, et Valk Welding s’investit beaucoup sur ce sujet. C’est un critère important pour nous, parce qu’il faut trois à cinq semaines pour réaliser le programme des pièces les plus complexes et que nous ne pouvons pas nous permettre d’arrêter le robot pendant une aussi longue période », explique Jérôme Mathieu.

www.comebo.fr

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